top of page

Leonard Cohen

bashung c1.jpg
Par Belkacem Bahlouli

290 x 290 mm - 96 pages
EAN : 978 2 915126 92 1

Prix public : 29,90 euros

Pendant un demi-siècle, avec sa voix de baryton, il aura chanté l’amour et la haine, le sexe et la spiritualité, la guerre et la paix, l’extase et la dépression. Mais aussi et avant tout, la liberté. Liberté d’écrire comme il l’entendait, et liberté de sortir des disques lorsqu’il le voulait. Ou le sentait. Du reste, le prix Nobel de Bob Dylan en 2016 nous l’a rappelé, les textes de certains chanteurs ont une puissance évocatrice et une poésie unique. Et le génie du Canadien tient à cette intrication entre la performance vocale, les arrangements et les paroles. Tout est inextricablement mêlé. On y trouve un cocktail d’humour, d’humilité, de nihilisme, de désespoir et de joie intelligemment dosé par un artiste qui avait ce pouvoir inimitable de tirer toute la poésie des mots, de mettre en lumière nos propres qualités humaines. En fait, Leonard nous a initiés à la philo. Il nous a expliqué la beauté et la laideur du monde, et comment faire la part des choses. Et aussi distinguer le bien du mal, car il avait avant tout une belle âme. N’est pas seigneur qui veut.


En quelque quinze albums studio, dont un posthume, le Montréalais aura signé une œuvre définitive, passionnante, riche et foisonnante, à laquelle il est utile – en ces temps où la perspective manque de plus en plus chaque jour – de replonger. Ainsi, redécouvrir ces tranches d’une vie étonnante montre que Leonard Cohen n’était pas le gars le plus sérieux du monde. Et sa discographie le prouve au-delà de toute espérance.

Leonard Cohen

bashung c1.jpg
Par Belkacem Bahlouli

290 x 290 mm - 96 pages
EAN : 978 2 915126 92 1

Prix public : 29,90 euros

ROLLING_STONES.png

Pendant un demi-siècle, avec sa voix de baryton, il aura chanté l’amour et la haine, le sexe et la spiritualité, la guerre et la paix, l’extase et la dépression. Mais aussi et avant tout, la liberté. Liberté d’écrire comme il l’entendait, et liberté de sortir des disques lorsqu’il le voulait. Ou le sentait. Du reste, le prix Nobel de Bob Dylan en 2016 nous l’a rappelé, les textes de certains chanteurs ont une puissance évocatrice et une poésie unique. Et le génie du Canadien tient à cette intrication entre la performance vocale, les arrangements et les paroles. Tout est inextricablement mêlé. On y trouve un cocktail d’humour, d’humilité, de nihilisme, de désespoir et de joie intelligemment dosé par un artiste qui avait ce pouvoir inimitable de tirer toute la poésie des mots, de mettre en lumière nos propres qualités humaines. En fait, Leonard nous a initiés à la philo. Il nous a expliqué la beauté et la laideur du monde, et comment faire la part des choses. Et aussi distinguer le bien du mal, car il avait avant tout une belle âme. N’est pas seigneur qui veut.


En quelque quinze albums studio, dont un posthume, le Montréalais aura signé une œuvre définitive, passionnante, riche et foisonnante, à laquelle il est utile – en ces temps où la perspective manque de plus en plus chaque jour – de replonger. Ainsi, redécouvrir ces tranches d’une vie étonnante montre que Leonard Cohen n’était pas le gars le plus sérieux du monde. Et sa discographie le prouve au-delà de toute espérance.

bottom of page